COVID Infos

Conditions sanitaires : 

Préfecture de Haute-Saône – 17/11/2021 :

Madame, Monsieur le maire,
La situation épidémique connaît une dégradation en Haute-Saône, avec un taux d’incidence en population générale désormais au-dessus du seuil d’alerte de 50 cas pour 100 000 habitants. Le département compte en effet actuellement 84 nouveaux cas pour 100 000 habitants, contre 30 seulement fin octobre. Au 15 novembre, 10 patients sont hospitalisés dont 4 en soins critiques, le taux d’occupation des places en soins critiques est de 33 %.

Dans ce contexte, après concertation avec l’ARS et après échanges avec les élus, M. le Préfet a décidé d’étendre l’obligation de port du masque aux établissements recevant du public (ERP) et aux activités soumises à pass- sanitaire.

Ainsi, jusqu’au 31 janvier 2022 inclus, le port du masque pour les personnes de 11 ans et plus est obligatoire :

    •     dans les marchés alimentaires réguliers, les marchés festifs comme les marchés de Noël, les ventes au déballage ;
    • lors des rassemblements de personnes comme les manifestations revendicatives, sportives (pour les seuls spectateurs), spectacles et animations de rue, les fêtes foraines de moins de 30 attractions ou stands
    • dans les files d’attente ;
    • sur le parvis des gares et aux arrêts de bus ;
    • sur le parvis des établissements scolaires et d’enseignement supérieur, aux heures d’entrée et de sortie ;
    • sur le parvis des lieux de cultes, aux heures d’entrée et de sortie des offices et célébrations ;
    •  sur le parvis des établissements de santé et des établissements médico-sociaux ;
    • et dans les établissements recevant du public.

Ces mesures de freinage de l’épidémie de la Covid-19 s’appliquent donc désormais à tous les évènements ou rassemblements ludiques, festifs, sportifs ou culturels accessibles sur présentation du pass-sanitaire.

Concernant les marchés de Noël qui pourraient être organisés dans vos communes, le pass sanitaire ne sera exigé que dans les espaces de restauration ou de buvette, et le port du masque sera obligatoire sur l’ensemble de l’évènement.

Enfin, je vous prie de bien vouloir trouver le tableau récapitulatif des mesures relatives à la mise en place du pass sanitaire mis à jour.
Dans l’éventualité où les fichiers ne se lanceraient pas correctement sur votre ordinateur, il est conseillé de les enregistrer avant de les ouvrir. L’arrêté est également disponible dans le RAA à ce lien.

La préfecture reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire,

Respectueusement,


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EDF-ERDF

2021 : 


Message du 30/03/15 16:47
De : “ERDF-COLLOC-70” <erdf-colloc-70@erdf.fr>

> Objet : ERDF Info : ERDF surveille les lignes aériennes de la Haute Saône en hélicoptère

Madame, Monsieur,

Afin d’améliorer la qualité de l’électricité, ERDF, dans le cadre de son programme d’entretien des ouvrages électriques, organise chaque année la visite préventive d’une partie du réseau aérien 20 000 Volts.

En 2015, ce programme de surveillance par hélicoptère concernera 197 communes de la Haute Saône et 660 km de lignes électriques.

Cette opération de surveillance, confiée à l’entreprise Jet Systems Hélicoptères Service, est programmée à compter du 7 avril mais reste tributaire des conditions météorologiques.

L’hélicoptère qui survolera les lignes électriques de votre commune se déplacera à deux mètres à peine au dessus du réseau électrique.

L’équipage est chargé de repérer les éléments potentiellement défectueux. Cette inspection permet, en effet, de réaliser un diagnostic précis des points de fragilité (poteaux endommagés, isolateurs cassés, usure des lignes, etc.) pour cibler les opérations de maintenance. Un recensement des points d’élagage sera également effectué.

Les survols peuvent être rasants, et donc impressionnants.

Ils sont réalisés par un hélicoptère portant l’inscription F-GZGM.

Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

Sincères salutations.

ERDF – Direction Territoriale Haute-Saône
> 14 quai Yves Barbier 70000 Vesoul
> 03 81 83 87 81
> erdf-colloc-70@erdf.fr

Photos du Village

Histoire du Château … et du village

La Seigneurie et le château de Vregille

– par Laurent de Vregille –

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Cinq familles se sont succédées à Vregille depuis le XIe siècle, terre et seigneurie relevant toujours des Comtes de Bourgogne, puis du Roi de France.

Dans un acte de 1197 est mentionné un Guillaume de Vregille, Chevalier. Dans un acte de 1272 est nommé Richard, fils de Guy de Vregille. Ce dernier était croisé et fut tué devant Tunis.

En 1287, Richard de Vregille est un seigneur important, appelé par le Comte de Bourgogne à apposer son sceau sur des actes. Il laisse deux fils, Guillaume et Pierre, qui se partagent le domaine de Vregille.

A cette époque, le château féodal se dressait sur les bords de la rivière l’Ognon, en face de Sauvagney, et commandait le pont qui, passant sur une île, menait du pays de Dôle à celui de Montbéliard. Le château avait une grosse tour ronde et trois tours carrées. Quelques vestiges, fossés, etc …, existent encore;

on le nommait le château de la Tour de l’Ile.

A partir de 1300, l’on ne trouve plus aucune mention des Sires de Vregille. Vers le début du XIVe siècle, le château devint la propriété de la famille de l’Isle. Les guerres, les invasions de cette époque furent funestes aux villages de Vregille, de Sauvagney, de Chambornay, qui ne se repeuplèrent que lentement. La famille de l’Isle se transporta ailleurs.

A la fin du XIVe siècle, Vregille relève des seigneurs de Moncley, lesquels disparaissent vers 1566.

Les La Tour Saint-Quentin, d’une illustre famille, leur succèdent, Louise de Remilly, la dernière des Moncley, ayant vendu sa seigneurie à Etienne de La Tour. Son fils eut l’idée d’installer sur l’Ognon une écluse pour actionner “forges et fourneaux“, afin de traiter les minerais du Nord de la Haute Saône. Mais les affaires allèrent mal; les créanciers intervinrent et, en 1660, les seigneurs de Moncley durent vendre une grande partie des domaines.

Ces domaines étaient dans un pitoyable état, à la suite des pillages des routiers, des soldats de Saxe-Weimar. Ils furent acquis, les terres de “Vurgille en particulier, par le Baron de Blisterswick, apparenté aux seigneurs de Moncley. Ce ne fut pas pour longtemps. Les Blisterswick, qui avaient déjà vendu en 1683 la seigneurie de Boulot pour payer leurs dettes, durent laisser vendre également le domaine de Vregille. Le 17 avril 1700, il fut acquis par Claude-Alexandre Courlet qui reprit le fief avec droits de haute, moyenne et basse justice, et attribua la seigneurie à son fils Alexandre-François.

Du temps même de la famille de La Tour Saint-Quentin, il existait, dans le village même de Vregille, une maison dite “La Régale“, où le seigneur qui n’habitait pas exerçait la justice par ses officiers et percevait le “droit de Régale“. Bien qu’ayant subi un incendie et diverses transformations, ce bâtiment existe encore et sert d’écurie et de remise. La cour de la “Régale” était fermée au nord par un grand bâtiment de ferme qui existe toujours; au midi par une construction voûtée s’appuyant sur la tour de la chapelle; au levant par un mur élevé. C’est sur l’angle est de ce mur que Louis de La Tour fit construire, vers 1570, un logis à l’espagnole, avec une tour carrée. Devant cette tour, des fossés “saut de loup” formaient protection, se continuant par un canal qui aboutissait, près d’un vivier, à une petite tour ronde servant de guet, dont il ne reste que la base, dite le “fer à cheval“. Une source renommée, dite “Font bénit“, sortait de terre au pied d’un énorme chêne, et l’on venait de loin pour y puiser. François-Désiré l’a fait protéger par un kiosque voûté.

C’est en 1713, que Alexandre-François de Vregille fit construire le château actuel, dans le style Louis XIV, simple et pur de lignes. C’est à l’achèvement des travaux, en 1730, qu’il fit sculpter sur la porte d’entrée les deux écussons accolés des Vregille et des Longeville, écussons qui furent martelés par un délégué du Comité révolutionnaire de Gy.

Un peu plus tard, François-Désiré transforma en jardins à la française les vergers avoisinant le château, dont il modifia aussi la disposition intérieure. En 1820, les vieux bâtiments fermant la cour au sud furent démolis, et la tour de la chapelle resta isolée.[[François-Désiré prévoyait-il les mauvais jours de la Révolution? Toujours est-il qu’il avait fait aménager, au premier étage, une cachette, aujourd’hui supprimée, dans laquelle un prêtre put dire la messe pendant longtemps, pour les habitants prévenus en secret, sans avoir jamais été dénoncé.]]

Mansuit transforma le jardin à la française en parc anglais, tel qu’il est encore aujourd’hui, et agrandit les dépendances. Son fils Auguste augmenta le parc au moyen de nouvelles acquisitions, fit bâtir l’aile de la bibliothèque suivant le plan d’Alexandre-François, et fit diverses améliorations.

A partir de 1906, Albert de Vregille entreprit des réparations qui s’imposaient : réfection de la charpente, démolition et reconstruction partielles de la tour carrée de l’angle nord, aménagement d’un bâtiment annexe au nord-est, remise en état de la chapelle du château, addiction d’eau, installation de l’électricité.

La chapelle du château, avec son caveau funéraire, semble dater de 1500 environ. La grille qui ferme le choeur, avec les initiales entrelacées C.V. (Vregille, Crespy) date de François-Désiré.
Tout autour de l’autel, des écussons rappellent les principales alliances. Par autorisation épiscopale, la messe peut-être célébrée toute l’année, sauf pour les quatre grandes fêtes.

Anciennement, les seigneurs de Vregille suivaient les exercices du culte dans l’église de Chambornay, où ils avaient leur banc seigneurial, lequel fut jeté à la rivière en 1793 par quelques jeunes gens excités.

En 1725, Alexandre-François construisit à Vregille une église, avec l’autorisation de l’Ordinaire; l’entrée était au midi, avec pignon pour la cloche. Le culte fut abandonné durant la Révolution. En 1802, la municipalité jugea bon de faire mettre le choeur au midi et le clocher au nord, au dessus de l’entrée.
En 1847, l’église qui, au début, dépendait de Chambornay, fut longtemps desservie, suivant les possibilités, par les curés de Pin. Depuis 1906, par autorisation de l’Archevêché, le service est fait régulièrement par le clergé de Pin, réserve faite des premières communions et des mariages.

Quelques lignes pour finir sur le Moulin de Poussot, lequel pendant longtemps défraya la chronique judiciaire. Ce moulin, l’un des plus anciens du pays, et des plus importants, est déjà mentionné en 1217. Il était alors alimenté par trois étangs, un ruisseau et plusieurs sources, et était exploité par les moines de l’Abbaye voisine de Fontenelay. Il releva ensuite de la seigneurie de Moncley, mais fut vendu en 1690, par les Blisterswick endettés, à Alexandre seigneur de Vregille et Boulot, et transmis en héritage, avec la seigneurie de Vregille, à son fils Alexandre-François.

Un nommé François Belot, de Moncley, qui avait déjà acquis le château de Moncley, essaya, avec la procuration de Mme de Vaudrey, née Blisterswick, de faire annuler la vente. Il n’y put réussir, et le moulin resta à ses propriétaires. Le château de Moncley passa également aux mains des Terrier-Santans.

Marnay et alentours

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Nous sommes heureux de vous annoncer le premier marché de producteurs qui aura lieu sur notre toute nouvelle place !

1er et 3ème vendredi du mois de 17h à 20h.

A chaque édition une association vous accueille à la buvette et la restauration.
Stand de fromage, vin, fruits et légumes…
TOUT pour faire vos courses pour le week-end !
Les commerces du village seront aussi ouverts jusqu’à 20h pour vous accueillir.

MARNAY avance !

Union des Commercants, Industrie et Artisan du val de Marnay
2, rue Carnot 70150 Marnay – Tél : 06.85.05.71.51 – www.ucia.marnay70.com
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ThéatràTRUC

  • Samedi 13 juin – 20h30 à la salle polyvalente de CHAUCENNE (25) :
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en 2014 :

  • Chaucenne, Samedi 24 mai – Marnay, Samedi 28 & Dimanche 29 juin

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